Janne Saarikivi est trop pointilleux pour être artiste, mais un tantinet trop bohème pour être chercheur de pointe. Il considère que pour publier de la recherche, il ne suffit pas de proposer des articles dans des publications scientifiques, mais que travailler en communauté avec les minorités linguistiques, enseigner, ou encore écrire des chroniques dans la presse sont autant de formules possibles. Saarikivi est un esprit fébrile et se lance constamment dans de nouveaux projets qui, la moitié du temps, restent à l’état d’ébauches.