Auli Hakulinen
J’ai eu de la chance d’entrer à l’université avant « la restructuration ». Pourtant, le début de mes études a été le plus difficile ; je suis passée d’une matière principale à une autre, ce qui, dans les années 1960, était encore permis en vertu de la liberté académique. Maintenant, je profite de ma retraite et je fais de la recherche dont les conclusions vont garnir les rayons du département. Il est formidable que j’aie pu nouer un accord de professeur émérite avec l’université !